ï»żPeugeotallĂšgue que l’action Ă  son encontre est prescrite, conformĂ©ment Ă  l’article L. 110-4 du code de commerce selon lequel les actions nĂ©es Ă  l’occasion d’une vente sont prescrites dans les 5 ans qui suivent la vente initiale. La cour d’appel dĂ©clare que l’appel en garantie formĂ© par le vendeur contre le fabricant est recevable et n’est pas ReplierPartie lĂ©gislative (Articles L110-1 Ă  L960-4). Replier LIVRE Ier : Du commerce en gĂ©nĂ©ral. (Articles L110-1 Ă  L154-1) Replier TITRE II : Des commerçants. (Articles L121-1 Ă  L129-1) Replier Chapitre III : Des obligations gĂ©nĂ©rales des commerçants. (Articles L123-1 Ă  L123-31) Replier Section 2 : De la comptabilitĂ© des commerçants DĂ©cretLoi du 30 octobre 1935 sur le chĂšque, Articles 52 et s. Loi n°77-4 du 3 janvier 1977 modifiant l'article 189 bis du Code de commerce concernant la prescription en matiĂšre commerciale, Articles 3 et s. Loi n°2008-561 du 17 juin 2008 portant rĂ©forme de la prescription en matiĂšre civile. Bibliographie Extraitsdu code de la consommation et du code Civil Article L. 217-4 du code de la consommation : « Le vendeur livre un bien conforme au contrat et rĂ©pond des dĂ©fauts de conformitĂ© existant lors de la dĂ©livrance. Il rĂ©pond Ă©galement des dĂ©fauts de conformitĂ© rĂ©sultant de l’emballage, des instructions de montage ou de l’installation lorsque celle-ci L110 -4 du code de commerce ). L'Ă©tablissement bancaire dispose d'un dĂ©lai de cinq ans pour agir contre la caution dirigeante Ă  compter du premier incident de paiement non rĂ©gularisĂ© par le dĂ©biteur principal (en ce sens Cass. Civ 1, 6 novembre 2017, n° 16-15.331). PassĂ© ce dĂ©lai, l'action de la banque sera dĂ©clarĂ©e prescrite et donc irrecevable. Lavis du comitĂ© social et Ă©conomique est rendu au plus tard dans les douze jours de la dĂ©cision prononçant la liquidation, ou, si le maintien provisoire de l'activitĂ© a Ă©tĂ© autorisĂ© par le tribunal, dans les douze jours suivant le terme de cette autorisation. ArticleL110.4 ModifiĂ© depuis le 19 juin 2008 - AUTONOME I.-Les obligations nĂ©es Ă  l'occasion de leur commerce entre commerçants ou entre commerçants et non-commerçants se prescrivent par dix ans si elles ne sont pas soumises Ă  des prescriptions spĂ©ciales plus courtes. Remarque Par dĂ©rogation Ă  l'article D.5-1, § 2, du Livre I er du Code de l'Environnement, tel que modifiĂ© par le dĂ©cret du 31 mai 2007, toute personne qui, au jour de l'entrĂ©e en vigueur du prĂ©sent dĂ©cret, exerce dĂ©jĂ  une fonction de conseiller en environnement mais ne dispose pas du diplĂŽme, de la formation ou de l'expĂ©rience visĂ©s Ă  l'article D.5-1, § 2, du ConformĂ©mentĂ  l’article 4 de l’ordonnance n° 2021-859 du 30 juin 2021, ces dispositions sont applicables Ă  compter du 1 er novembre 2021 aux contrats conclus aprĂšs la publication de cette ordonnance. Les contrats en cours d'exĂ©cution Ă  la date de publication de cette ordonnance sont mis en conformitĂ© avec les dispositions ArticleL.110-4 du . Code de commerce. Document bancaire (talon de chĂšque, relevĂ© bancaire) 5 ans: Article L.110-4 du . Code de commerce. Document de transport de marchandises: 5 ans: Article L.110-4 du . Code de commerce. LES DECLARATIONS FISCALES ET SOCIALES: ImpĂŽt sur le revenu et sur les sociĂ©tĂ©s: 6 ans : Article L.102 krEo7. Code de commerceChronoLĂ©gi Article L741-2 - Code de commerce »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 juillet 2022 Naviguer dans le sommaire du code La profession de greffier des tribunaux de commerce est reprĂ©sentĂ©e auprĂšs des pouvoirs publics par un Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce, dotĂ© de la personnalitĂ© morale et chargĂ© d'assurer la dĂ©fense de ses intĂ©rĂȘts conseil national peut, devant toutes les juridictions, exercer tous les droits rĂ©servĂ©s Ă  la partie civile relativement aux faits portant un prĂ©judice direct ou indirect Ă  l'intĂ©rĂȘt collectif de la modes d'Ă©lection et de fonctionnement du Conseil national sont fixĂ©s par dĂ©cret en Conseil d' conseil national fixe son peut assurer le financement de services d'intĂ©rĂȘt collectif dans les domaines fixĂ©s par cette fin, le conseil national appelle une cotisation versĂ©e annuellement par chaque titulaire d'un office de greffier de tribunal de commerce. Le montant de cette cotisation rĂ©sulte d'un barĂšme progressif fixĂ© par dĂ©cret aprĂšs avis du conseil national, en fonction de l'activitĂ© de l'office et, le cas Ă©chĂ©ant, du nombre d' produit de cette cotisation ne peut excĂ©der une quotitĂ© dĂ©terminĂ©e par le conseil national, dans la limite de 2 % du total des produits hors taxes comptabilisĂ©s par l'ensemble des offices au titre de l'annĂ©e dĂ©faut de paiement de cette cotisation dans un dĂ©lai d'un mois Ă  compter d'une mise en demeure, le conseil national dĂ©livre, Ă  l'encontre du redevable, un acte assimilĂ© Ă  une dĂ©cision au sens du 6° de l'article L. 111-3 du code des procĂ©dures civiles d' conseil national prĂ©pare un code de dĂ©ontologie Ă©dictĂ© par dĂ©cret en Conseil d'Etat Ă©nonçant les principes et devoirs professionnels permettant le bon exercice des fonctions de greffier des tribunaux de commerce. Il prĂ©cise par voie de rĂšglement, approuvĂ© par arrĂȘtĂ© du garde des sceaux, ministre de la justice, les rĂšgles professionnelles propres Ă  assurer le respect de ce code. Le conseil national exerce l'action disciplinaire dans les conditions prĂ©vues par l'ordonnance n° 2022-544 du 13 avril 2022 relative Ă  la dĂ©ontologie et Ă  la discipline des officiers Conseil national des greffiers des tribunaux de commerce est Ă©galement chargĂ© d'assurer la tenue du fichier prĂ©vu Ă  l'article L. Ă  l’article 40 de l’ordonnance n° 2022-544 du 13 avril 2022, ces dispositions entrent en vigueur le 1er juillet 2022. Se reporter aux conditions d’application dudit article. Vous produisez des denrĂ©es alimentaires et vous souhaitez utiliser le terme artisan » ou ses dĂ©rivĂ©s dans vos communications Ă  destination des consommateurs. La qualitĂ© d’Artisan rĂ©pond Ă  des exigences prĂ©cises. Dans quelles conditions pouvez-vous vous prĂ©valoir de cette qualitĂ© ? CrĂ©dit photo ©Phovoir Artisan - PDF, 504 Ko Quels sont les critĂšres Ă  remplir pour pouvoir utiliser le terme artisan » ou artisanal » ? Attention, l’emploi du terme artisan » et de ses dĂ©rivĂ©s est encadrĂ© par la loi n° 96-603 du 5 juillet 1996 relative au dĂ©veloppement du commerce et de l’artisanat article 21 de la loi et le dĂ©cret n° 98-247 du 2 avril 1998 relatif Ă  la qualification artisanale et au rĂ©pertoire des mĂ©tiers. Vous pouvez vous prĂ©valoir de la qualitĂ© d’artisan et utiliser le terme artisan » ou ses dĂ©rivĂ©s pour l’appellation, l’enseigne, la promotion et la publicitĂ© de votre entreprise, d’un produit ou d’une prestation de service Ă  condition de remplir les critĂšres suivants Être immatriculĂ© au rĂ©pertoire des mĂ©tiers. Certaines activitĂ©s professionnelles indĂ©pendantes relĂšvent de l’artisanat conformĂ©ment Ă  l’annexe du dĂ©cret n° 98-247. Ces activitĂ©s nĂ©cessitent que les personnes physiques ou les personnes morales qui les exercent s’immatriculent au rĂ©pertoire des mĂ©tiers lorsqu’elles n’emploient pas plus de 10 salariĂ©s[1]. Le maintien au rĂ©pertoire des mĂ©tiers au-delĂ  de ce seuil est par ailleurs possible dans les conditions prĂ©cisĂ©es par l’article 19 de la loi du 5 juillet 1996. Exemples d’activitĂ©s concernĂ©es - fabrication de produits laitiers - fabrication de biĂšre ET - RĂ©pondre aux conditions de qualification professionnelle prĂ©vues Ă  l’article 1 du dĂ©cret n° 98-247 et en vertu desquelles l’un des dirigeants de l’entreprise doit avoir - un certificat d'aptitude professionnelle, un brevet d'Ă©tudes professionnelles dĂ©livrĂ© par le ministre chargĂ© de l'Ă©ducation pour le mĂ©tier concernĂ© ou un titre homologuĂ© ou enregistrĂ© au rĂ©pertoire national des certifications professionnelles d'un niveau au moins Ă©quivalent dans le mĂ©tier exercĂ© ; OU - une expĂ©rience professionnelle dans ce mĂ©tier de trois annĂ©es au moins. Attention Il ne faut pas confondre cette qualification du dirigeant qui permet de se prĂ©valoir de la qualitĂ© d’artisan avec la qualification professionnelle obligatoire qui est requise pour l’exercice de certaines activitĂ©s, et notamment pour la production de certaines denrĂ©es alimentaires. Cette obligation requiert que l’activitĂ© professionnelle en elle-mĂȘme soit exercĂ©e par une personne qualifiĂ©e ou sous le contrĂŽle effectif et permanent de celle-ci cf. la liste des activitĂ©s concernĂ©es Ă  l’article 16-I de la loi n° 96-603. Cette obligation s’applique donc indĂ©pendamment du fait que la personne physique ou morale se prĂ©vale de la qualitĂ© d’artisan. Comment solliciter la reconnaissance de la qualitĂ© d’artisan ? Depuis 2015, il n’est pas nĂ©cessaire de solliciter la reconnaissance de la qualitĂ© d’artisan pour pouvoir s’en prĂ©valoir. Il suffit donc que vous remplissiez les critĂšres fixĂ©s par la loi et le dĂ©cret. Dans certains cas, vous devrez cependant faire une demande Ă  la chambre des mĂ©tiers et de l’artisanat de votre ressort chambre dĂ©partementale, interdĂ©partementale ou de rĂ©gion selon les cas - pour la dĂ©livrance du titre de maĂźtre-artisan articles 3 et 5 ter du dĂ©cret n° 98-247, cf. point 3 ci-dessous ; - pour l’attribution de la qualitĂ© d’artisan dans les conditions prĂ©vues Ă  l’article 5 du dĂ©cret n° 98-247, c’est-Ă -dire lorsque vous avez obtenu votre qualification non pas en France mais dans un autre Etat membre de l’Union europĂ©enne ou partie Ă  l’Espace Economique EuropĂ©en. Sous quelles conditions un opĂ©rateur peut-il utiliser les termes maĂźtre-artisan » ou maĂźtre » associĂ©s Ă  une activitĂ© professionnelle ou un mĂ©tier ? L’emploi du terme maĂźtre artisan » est encadrĂ© par la loi n° 96-603 du 5 juillet 1996. Pour pouvoir utiliser cette expression, vous devez avoir obtenu l’attribution de ce titre par la chambre de mĂ©tiers et de l’artisanat compĂ©tente et, Ă  cet effet, vous devez - ĂȘtre immatriculĂ© au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ; - remplir les conditions de qualification prĂ©vues Ă  l’article 3 ou Ă  l’article 5 ter du dĂ©cret n° 98-247. Cette qualification est d’un niveau supĂ©rieur Ă  celle requise pour se prĂ©valoir de la qualitĂ© d’artisan elle peut consister par exemple en un diplĂŽme de niveau brevet de maĂźtrise ou Ă©quivalent ET une expĂ©rience professionnelle de deux ans Par ailleurs, les termes maĂźtre + nom d’une profession ou d’un mĂ©tier, ou d’une activitĂ© professionnelle » ne sont pas expressĂ©ment encadrĂ©s par la loi du 5 juillet 1996. Il reste qu’ils peuvent Ă©voquer dans l’esprit du consommateur les aptitudes et l’expĂ©rience reconnues aux professionnels qui sont maĂźtres artisans » et qu’à cet Ă©gard le fait pour un professionnel de se prĂ©senter comme maĂźtre + un mĂ©tier », alors qu’il n’est pas titulaire du titre protĂ©gĂ© de maĂźtre artisan, peut ĂȘtre trompeur et constitutif d’une pratique rĂ©primĂ©e par le Code de la consommation cf. par exemple Cass. Crim, 18 octobre 1995, n° 94-86026. Si vous utilisez une expression maĂźtre + activitĂ© », vous devez donc ĂȘtre en mesure d’apporter la preuve que vous possĂ©dez les qualitĂ©s requises pour faire Ă©tat de votre maĂźtrise parfaite dans l’exercice de l’activitĂ© dĂ©signĂ©e. Lorsque votre communication met en avant le terme artisan » ou ses dĂ©rivĂ©s, par exemple si vous prĂ©sentez un produit comme un produit artisanal » accompagnĂ© d’une expression de type maĂźtre + activitĂ© », vous devez remplir les exigences de l’article 3 du dĂ©cret pour pouvoir vous prĂ©valoir de cette expression. Quels sont les points susceptibles d’ĂȘtre contrĂŽlĂ©s par la DGCCRF ? Les agents de la DGCCRF veillent Ă  la loyautĂ© de l’information dĂ©livrĂ©e aux consommateurs. Ils sont habilitĂ©s par l’article 24, IV de la loi n° 96-603 Ă  rechercher et constater les infractions consistant Ă  faire usage du mot artisan » ou de l’un de ses dĂ©rivĂ©s dans dĂ©tenir la qualitĂ© d’artisan, de maĂźtre ou de maĂźtre artisan. A ce titre, les agents de la DGCCRF peuvent demander au professionnel qui utilise le terme artisan » ou ses dĂ©rivĂ©s dans ses communications, de justifier de son inscription au rĂ©pertoire des mĂ©tiers et de sa qualification ou expĂ©rience professionnelle conformĂ©ment Ă  l’article 1er du dĂ©cret n° 98-247. Les agents de la DGCCRF sont aussi habilitĂ©s Ă  rechercher et constater les pratiques commerciales dĂ©loyales mentionnĂ©es aux articles et suivants du Code de la consommation. A titre d’exemple, l’article L. 121-3 du Code de la consommation prĂ©cise qu’une pratique commerciale est trompeuse notamment lorsqu’elle repose sur des allĂ©gations, indications ou prĂ©sentations fausses ou de nature Ă  induire en erreur sur les caractĂ©ristiques essentielles d’un bien ou d’un service comme par exemple son mode de fabrication. En cas de non-respect des dispositions rĂ©glementaires, et en fonction des circonstances, les services de contrĂŽle de la DGCCRF peuvent enjoindre le professionnel Ă  rĂ©aliser des modifications sur son Ă©tiquetage ; son site internet, ses publicitĂ©s. Ils peuvent aussi signaler l’infraction au Procureur de la RĂ©publique. La DGGCRF n’est pas chargĂ©e d’apprĂ©cier si les personnes immatriculĂ©es au rĂ©pertoire des mĂ©tiers peuvent le demeurer. Elle peut cependant adresser une information au prĂ©sident d’une chambre des mĂ©tiers et de l’artisanat en cas de doute article 15 bis du dĂ©cret n° 98-247. Quelles sont les sanctions encourues en cas de mauvais usage de la mention artisan » ou de l’un de ses dĂ©rivĂ©s ? Selon l’article 24 de la loi n °96-603, le fait de faire usage du mot " artisan " ou de l'un de ses dĂ©rivĂ©s pour l'appellation, l'enseigne, la promotion ou la publicitĂ© de l'entreprise, du produit ou de la prestation de service sans dĂ©tenir la qualitĂ© d'artisan, de maĂźtre ou de maĂźtre artisan dans les conditions prĂ©vues par le I et le II de l'article 21 est puni d’une peine de 7 500 €. La sanction est portĂ©e au quintuple pour les personnes morales conformĂ©ment Ă  l’article 131-38 du Code pĂ©nal. Les personnes physiques et morales encourent Ă©galement les peines complĂ©mentaires de fermeture de l’établissement, l’affichage ou la diffusion de la dĂ©cision prononcĂ©e. Les peines encourues en cas de pratique commerciale trompeuse sont indiquĂ©es sur le site internet de la DGCCRF fiche pratique Pratiques commerciales trompeuses les clĂ©s pour les reconnaĂźtre et s’en prĂ©munir ». Les Ă©lĂ©ments ci-dessus sont donnĂ©s Ă  titre d'information. Ils ne sont pas forcĂ©ment exhaustifs et ne sauraient se substituer aux textes officiels. [1] Le projet de loi relatif Ă  la croissance et Ă  la transformation des entreprises PACTE en cours d’examen par les assemblĂ©es prĂ©voit de faire passer ce seuil Ă  11 salariĂ©s. I. – Nul ne peut directement ou indirectement administrer ou diriger un organisme mutualiste, et pour les mutuelles et unions mentionnĂ©es Ă  l'article L. 211-10 et les unions mutualistes de groupe dĂ©finies Ă  l'article L. 111-4-2 ni ĂȘtre responsable d'une des fonctions clĂ©s mentionnĂ©es Ă  l'article L. 211-12 1° S'il a fait l'objet depuis moins de dix ans d'une condamnation dĂ©finitive pour crime ;2° S'il a fait l'objet depuis moins de dix ans d'une condamnation dĂ©finitive Ă  une peine d'emprisonnement ferme ou d'au moins six mois avec sursis pour a L'une des infractions prĂ©vues au titre Ier du livre III du code pĂ©nal et pour les dĂ©lits prĂ©vus par des lois spĂ©ciales et punis des peines prĂ©vues pour l'escroquerie et l'abus de confiance ;b Recel ou l'une des infractions assimilĂ©es au recel ou voisines de celui-ci prĂ©vues Ă  la section 2 du chapitre Ier du titre II du livre III du code pĂ©nal ;c Blanchiment ;d Corruption active ou passive, trafic d'influence, soustraction et dĂ©tournement de biens ;e Faux, falsification de titres ou autres valeurs fiduciaires Ă©mises par l'autoritĂ© publique, falsification des marques de l'autoritĂ© ;f Participation Ă  une association de malfaiteurs ;g Trafic de stupĂ©fiants ;h ProxĂ©nĂ©tisme ou l'une des infractions prĂ©vues par les sections 2 et 2 bis du chapitre V du titre II du livre II du code pĂ©nal ;i L'une des infractions prĂ©vues Ă  la section 3 du mĂȘme chapitre et Ă  la section 6 bis du chapitre III du mĂȘme titre II ;j L'une des infractions Ă  la lĂ©gislation sur les sociĂ©tĂ©s commerciales prĂ©vues au titre IV du livre II du code de commerce ;k Banqueroute ;l Pratique de prĂȘt usuraire ;m L'une des infractions Ă  la lĂ©gislation sur les jeux d'argent et de hasard et les casinos prĂ©vues aux articles L. 324-1 Ă  L. 324-4, L. 324-10 et L. 324-12 Ă  L. 324-14 du code de sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ;n Infraction Ă  la lĂ©gislation et Ă  la rĂ©glementation des relations financiĂšres avec l'Ă©tranger ;o Fraude fiscale ;p L'une des infractions prĂ©vues aux articles L. 121-2 Ă  L. 121-4, L. 121-8 Ă  L. 121-10, L. 411-2, L. 413-1, L. 413-2, L. 413-4 Ă  L. 413-9, L. 422-2, L. 441-1, L. 441-2, L. 452-1, L. 455-2, L. 512-4 et L. 531-1 du code de la consommation ;q L'une des infractions prĂ©vues au code monĂ©taire et financier ;r L'une des infractions prĂ©vues aux articles L. 8221-1, L. 8221-3, L. 8221-5 et L. 8224-1 du code du travail ;s Les atteintes aux systĂšmes de traitement automatisĂ© prĂ©vues par le chapitre III du titre II du livre III du code pĂ©nal ;t L'une des infractions Ă  la lĂ©gislation ou Ă  la rĂ©glementation applicable aux institutions de prĂ©voyance, unions et sociĂ©tĂ©s de groupe assurantiel de protection sociale rĂ©gies par le titre 3 du livre 9 du code de la sĂ©curitĂ© sociale, aux entreprises rĂ©gies par le code des assurances et aux mutuelles, unions et fĂ©dĂ©rations rĂ©gies par le prĂ©sent code ;3° S'il a fait l'objet depuis moins de dix ans d'une condamnation dĂ©finitive Ă  la destitution des fonctions d'officier public ou – L'incapacitĂ© prĂ©vue au premier alinĂ©a du I s'applique Ă  toute personne Ă  l'Ă©gard de laquelle a Ă©tĂ© prononcĂ©e une mesure dĂ©finitive de faillite personnelle ou une autre mesure dĂ©finitive d'interdiction dans les conditions prĂ©vues par le livre VI du code de – Sans prĂ©judice des dispositions du deuxiĂšme alinĂ©a de l'article 132-21 du code pĂ©nal, la juridiction prononçant la dĂ©cision qui entraĂźne cette incapacitĂ© peut en rĂ©duire la – Les personnes exerçant une fonction, une activitĂ© ou une profession mentionnĂ©e au premier alinĂ©a du I qui font l'objet de l'une des condamnations prĂ©vues aux I et II doivent cesser leur activitĂ© dans un dĂ©lai d'un mois Ă  compter de la date Ă  laquelle la dĂ©cision de justice est devenue dĂ©finitive. Ce dĂ©lai peut ĂȘtre rĂ©duit ou supprimĂ© par la juridiction qui a rendu cette – En cas de condamnation prononcĂ©e par une juridiction Ă©trangĂšre et passĂ©e en force de chose jugĂ©e pour une infraction constituant, selon la loi française, un crime ou l'un des dĂ©lits mentionnĂ©s au I, le tribunal correctionnel du domicile du condamnĂ© dĂ©clare, Ă  la requĂȘte du ministĂšre public, aprĂšs constatation de la rĂ©gularitĂ© et de la lĂ©galitĂ© de la condamnation et l'intĂ©ressĂ© ayant Ă©tĂ© dĂ»ment appelĂ© en chambre du conseil, qu'il y a lieu Ă  l'application de l'incapacitĂ© prĂ©vue au premier alinĂ©a du incapacitĂ© s'applique Ă©galement Ă  toute personne non rĂ©habilitĂ©e ayant fait l'objet d'une faillite personnelle prononcĂ©e par une juridiction Ă©trangĂšre quand le jugement dĂ©claratif a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© exĂ©cutoire en France. La demande d'exequatur peut ĂȘtre, Ă  cette fin seulement, formĂ©e par le ministĂšre public devant le tribunal judiciaire du domicile du – Le fait, pour une personne, de ne pas faire l'objet de l'incapacitĂ© prĂ©vue au prĂ©sent article ne prĂ©juge pas de l'apprĂ©ciation, par l'autoritĂ© compĂ©tente, du respect des conditions nĂ©cessaires Ă  l'agrĂ©ment ou Ă  l'autorisation d' – Les dispositions du I du prĂ©sent article ne sont pas applicables aux personnes qui bĂ©nĂ©ficient d'une dispense d'inscription de la condamnation au bulletin n° 2 du casier judiciaire ou d'une – Les personnes appelĂ©es Ă  diriger une mutuelle ou union mentionnĂ©e Ă  l'article L. 211-1 ou une union mutualiste de groupe, ou Ă  y exercer une des fonctions clĂ©s mentionnĂ©es Ă  l'article L. 211-12 doivent possĂ©der l'honorabilitĂ©, la compĂ©tence ainsi que l'expĂ©rience nĂ©cessaires Ă  leurs membres du conseil d'administration des mutuelles et unions mentionnĂ©es aux 3° et 10° du B du I de l'article L. 612-2 du code monĂ©taire et financier disposent de l'honorabilitĂ©, de la compĂ©tence et de l'expĂ©rience apprĂ©cier la compĂ©tence des intĂ©ressĂ©s, l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution tient compte de leur formation et de leur expĂ©rience de façon proportionnĂ©e Ă  leurs attributions, notamment l'expĂ©rience acquise en tant que prĂ©sident d'un conseil ou d'un comitĂ©. L'autoritĂ© tient compte Ă©galement, dans l'apprĂ©ciation portĂ©e sur chaque personne, de la compĂ©tence, de l'expĂ©rience et des attributions des autres membres de l'organe auquel elle appartient. Lorsque des mandats ont Ă©tĂ© antĂ©rieurement exercĂ©s, la compĂ©tence est prĂ©sumĂ©e Ă  raison de l'expĂ©rience acquise. Pour les nouveaux membres, l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution tient compte des formations dont ils pourront bĂ©nĂ©ficier tout au long de leur – Lorsque l'AutoritĂ© de contrĂŽle prudentiel et de rĂ©solution est amenĂ©e Ă  se prononcer sur l'honorabilitĂ©, la compĂ©tence et l'expĂ©rience des personnes qui dirigent effectivement l'entreprise ou qui sont responsables de fonctions clĂ©s au sens de l'article L. 211-13 et, lorsque ces personnes exercent de telles fonctions auprĂšs d'une autre entitĂ© du mĂȘme groupe au sens dĂ©fini Ă  l'article L. 356-1 du code des assurances, elle consulte les autoritĂ©s compĂ©tentes de cette autre entitĂ©. Elle communique Ă  ces autoritĂ©s les informations utiles Ă  l'exercice de leurs – Un dĂ©cret en Conseil d'Etat prĂ©cise les conditions d'application du prĂ©sent Ă  l'article 50 de l'ordonnance n° 2019-1015 du 2 octobre 2019, ces dispositions entrent en vigueur Ă  compter du 1er janvier 2020.